Assassins Creed : voilà une saga que l’on ne présente plus et dont le premier épisode est sorti il y a 10 ans déjà ! Avec pour l’heure pas moins de 18 épisodes à son actif (tous supports confondus), la licence a su au fur et à mesure du temps, conquérir le cœur d’un large public qui attend toujours l’annonce d’un nouvel épisode avec une grande impatience. Si vous faites partie de ceux là alors ce qui suit risque de vous intéresser.
Appelez-moi Dynasty
Depuis son lancement en 2007, on peut dire qu’Assassin’s Creed aime nous faire voyager à travers les époques pour nous faire revivre les plus grands moments de l’histoire. De la troisième croisade, à la Renaissance italienne, en passant par la Révolution Française et Américaine ou encore plus récemment par l’Égypte antique.
Un voyage qui pourrait se poursuivre avec Assassin’s Creed Dynasty, si l’on en croit les déclarations nous venant de chez Playstation Universe. Nos confrères auraient en effet réussi à approcher un ex-employé de Technicolor en Inde. C’est lors d’un entretien, que celui-ci leur aurait assuré avoir travaillé sur les animations du jeu. Playstation Universe précise d’ailleurs que les équipes de Technicolor sont loin d’être des amateurs en matière de jeu vidéo, ayant auparavant œuvré sur des licences telles que FIFA, Resident Evil, ou bien encore Call Of Duty.
La prudence reste de mise
Il faut cependant avoir à l’esprit que rien n’indique que «Dynasty» sera effectivement le titre du jeu. Ubisoft ayant pour habitude d’utiliser des noms de code pour ses productions, souvenez-vous donc d’Assassin’s Creed Empire devenu par la suite, Assassin’s Creed Origins. Toujours selon nos confrères le prochain volet pourrait nous emmener vers la Chine ou le Japon, le terme «Dynasty» pouvant faire référence aux grands règnes familiaux dans ces pays.
Enfin, si Assassin’s Creed Dynasty venait effectivement à être confirmé, rien ne permet de penser qu’il pourrait sortir cette année. Assassin’s Creed Origins ayant montré à Yves Guillemot et ses équipes qu’une sortie annuelle n’était pas une obligation.
Et vous chers amis, où aimeriez-vous vous retrouver cette fois-ci ?
