Dans la vie d’une console, rien n’est jamais tout rose. Chacune connait ses hauts, ses bas et ses hacks ! Une mésaventure que vient malheureusement de connaitre la dernière née de Nintendo pour la seconde fois !
Linux fauteur de troubles
Cela a été rendu possible grâce au groupe de hackers baptisé fail0verflow qui a découvert une faille présente sur la puce Nvidia Tegra X1 et à l’intérieur de laquelle, ce trouve la Rom de démarrage qui motorise la console. Ce groupe en a donc profité pour installé Linux sur la Switch. Mais cette découverte, risque de ne pas rester sans conséquences.
Une faille bien connue
En janvier dernier, un groupe de 3 hackers (Pluto, Derrek et Naehrwert) avait déjà réussi à exploité cette même faille, en installant de leur coté, un émulateur pour la Super Nintendo. Un problème qui semble malheureusement difficile à corriger, puisqu’il s’agit d’une faille matériel et non de logiciel.
La menace de jeux piratés
Le risque pour Nintendo, serait que des hackers arrivent à installer un système d’exploitation tiers, qui permettrait alors de lancer n’importe quel jeu piraté. La firme va donc devoir redoubler d’effort si elle veut éviter ce problème.
Nvidia devra modifier le code de la ROM
La seule solution pour Nintendo serait que Nvidia identifie la faille et modifie le code de la ROM. On imagine d’ailleurs que la société japonaise poussera Nvidia à se pencher sur la question, afin que le succès de la Switch ne soit pas terni par cette sombre découverte.
Le jeu du chat et de la souris ne fait que commencer…
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